LE PROBLÈME

Camionnage intense avec tous les préjudices qui en découlent sur la santé mentale et physique des résidents du Chemin de la Butte-aux-Renards, Varennes, Québec.

  • Jusqu’à 1 000 passages de camions par jour ou plus
  • Le groupe BauVal / Roxboro / Bricon n’ont pas d’horaire fixe et sont autorisés à opérer à n’importe quel moment, de jour comme de nuit 7/7
  • Camionnage le week-end et la nuit
  • Aucune limite sur le nombre de passages
  • Aucune limite de bruit et vibrations
  • La majorité des opérateurs de véhicules ne respecte pas la limite de vitesse de 50 km/hr
  • Peu ou pas de présence policière
Chemin de la Butte-aux-Renards, Varennes - Carte zones habitées
Cliquez pour agrandir

LA SOLUTION

Une voie de contournement via montée de la Baronnie, une route que la municipalité a déjà décrétée voie de camionnage – La solution qui éloignerait tous les camions des zones habitées.

Selon la CPTAQ (COMMISSION DE PROTECTION DU TERRITOIRE AGRICOLE DU QUÉBEC) :

  • Une solution “raisonnée et durable”
  • Aucune autorisation du CPTAQ nécessaire puisque le montée de la Baronnie est déjà existant et que l’élargissement est possible
  • C’est le tracé qui génère le moins d’impacts sur la protection du territoire et des activités agricoles
  • « Même s’il requiert l’aménagement d’un nouveau petit tronçon, celui-ci peut être aménagé le long du boisé sur la propriété de CRH, tout en préservant l’érablière et les terres cultivées »
Chemin de la Butte aux Renards Varennes - Solution problème de camionnage
Cliquez pour agrandir

LE PROBLÈME

Camionnage intense avec tous les préjudices qui en découlent sur la santé mentale et physique des résidents du Chemin de la Butte-aux-Renards, Varennes, Québec.

Chemin de la Butte-aux-Renards, Varennes - Carte zones habitées
Cliquez pour agrandir
  • Jusqu’à 1 000 passages de camions par jour ou plus
  • Le groupe BauVal / Roxboro / Bricon n’ont pas d’horaire fixe et sont autorisés à opérer à n’importe quel moment, de jour comme de nuit 7/7
  • Camionnage le week-end et la nuit
  • Aucune limite sur le nombre de passages
  • Aucune limite de bruit
  • La majorité des opérateurs de véhicules ne respecte pas la limite de vitesse de 50 km/hr
  • Peu ou pas de présence policière

LA SOLUTION

Une voie de contournement via montée de la Baronnie, une route que la municipalité a déjà décrétée voie de camionnage – La solution qui éloignerait tous les camions des zones habitées.

Chemin de la Butte aux Renards Varennes - Solution problème de camionnage
Cliquez pour agrandir

Selon le COMMISSION DE PROTECTION DU TERRITOIRE AGRICOLE DU QUÉBEC (CPTAQ) :

  • Une solution “raisonnée et durable”
  • Aucune autorisation du CPTAQ nécessaire puisque le chemin de la Baronnie est déjà existant et que l’élargissement est possible
  • C’est le tracé qui génère le moins d’impacts sur la protection du territoire et des activités agricoles
  • « Même s’il requiert l’aménagement d’un nouveau petit tronçon, celui-ci peut être aménagé le long du boisé sur la propriété de CRH, tout en préservant l’érablière et les terres cultivées »

CPTAQ :

“Le tracé 3 demeure une alternative raisonnée et durable, puisque le chemin de la Baronnie est déjà existant et que l’élargissement de ce tracé est possible. D’ailleurs, cette mise aux normes pourrait bien ne pas requérir d’autorisation de la Commission, et ce, dans le respect l’article 6 (1) du Règlement d’application de la Loi sur la protection du territoire et des activités agricoles et de l’article 2 et suivants du Règlement sur l’autorisation d’aliénation ou d’utilisation d’un lot sans l’autorisation de la Commission de protection du territoire agricole. La Commission comprend que le tracé 3 engendre certains inconvénients et que l’évaluation des coûts est plus élevée que le tracé 1, mais il peut être le tracé qui génère le moins d’impacts sur la protection du territoire et des activités agricoles. Même s’il requiert l’aménagement d’un nouveau petit tronçon, celui-ci peut être aménagé le long du boisé sur la propriété de CRH, tout en préservant l’érablière et les terres cultivées.”

– COMMISSION DE PROTECTION DU TERRITOIRE AGRICOLE DU QUÉBEC (CPTAQ)