La situation actuelle (août 2024) :
- Depuis le mois de mai, les camions commencent à circuler de plus en plus tôt le matin en direction du Groupe Bauval Bricon Roxboro, au point où 4h00 à 4h30 est devenu la nouvelle norme.
- Le camionnage se poursuit de plus en plus tard chaque jour en raison des écoles de conduite Tecnic et Lauzon, qui ont choisi le Chemin de la Butte-aux-Renards comme lieu de formation pour leurs chauffeurs.
- Le volume de camions a augmenté de manière drastique, atteignant maintenant régulièrement 800 passages de camions par jour (1 013 passages hier, le 22 août).
- On constate une explosion du nombre de semi-remorques transportant entre 30 et 50 tonnes, provoquant des vibrations insupportables qui secouent les maisons et bouleversent la vie des résidents.
- Le nombre de camions équipés de straight pipes et dépourvus de silencieux a considérablement augmenté, aggravant un bruit déjà intolérable, avec des niveaux sonores atteignant 110 décibels à chaque passage.
- Peu ou pas de présence policière, malgré les nombreuses demandes répétées par les résidents.
- Le maire de Varennes, Martin Damphousse, et le conseil municipal de Varennes continuent de refuser de travailler sur une solution à long terme et ignorent les appels des résidents en faveur de la construction d’une route alternative pour détourner le trafic intense des camions.
Depuis mai 2024, le camionnage commence de plus en plus tôt sur le Chemin de la Butte-aux-Renards, entre 4h et 4h30, et parfois dès 3h30.
Être réveillé chaque matin par le bruit des camions dès 4h ou 4h30 a des conséquences graves sur la qualité de vie des résidents. Ce sommeil interrompu entraîne fatigue chronique, irritabilité, stress, et une diminution de la concentration au travail. Le bruit intense et les vibrations, souvent aggravés par l’absence de silencieux ou les « straight pipes », perturbent le sommeil et peuvent causer des troubles de santé à long terme. Cette situation crée une angoisse constante, les résidents s’attendant à être réveillés avant l’aube chaque nuit.
Nous sommes allés au conseil municipal pour demander comment faire face à cette nouvelle réalité.